- HENTAI - Cellule du Roi Noir : Arrivée : de retour de la véranda : suite et fin

Porte fermée, nous étions tous les deux dans ma chambre. Ainsi je pourrais tout savoir sur ce qu’il se passait. Il ne pourrait bouger ses pièces sans que je le sache.
Je sourie un peu plus. Les pièces se mettaient en place et je pourrais avoir un coup d’avance. Les noirs allaient pouvoir jouer en premier et non les blancs.

-Si tu veux, quand je viendrais te voir, je me ferai encore plus belle et sexy, juste pour toi !

Je la vis rougir encore plus et lorsqu’elle me dit qu’elle se ferait encore plus belle et sexy juste pour moi, mon sourire s’étira.

-Juste pour moi ? Personne d’autre n’y aura le droit ?
Même si elle était la reine de mon jeu, je ne supportais pas qu’on touche à mes affaires. Alors si je décidais de l’avoir, je ne voulais pas que quelqu’un d’autre l’ait.

-J’ai une chambre ici mais les patients n’ont pas le droit de venir, seul les membres du personnel y ont accès.

A ma déception, mais comme je m’y attendais, elle vivait bien ici, même si l’accès m’y était, pour le moment interdit.
Elle du lire ma légère déception et s’approcha de moi, se collant à moi.

-Pourquoi ? Tu voulais passer la nuit avec moi ? Je te rassure Ren, on peut tout faire ici aussi, même en journée...

Je passais ma main dans ses cheveux roses, quelle drôle de couleur, et passais mon autre bras autour de sa taille. Elle m’excitait trop. Je lui souris encore plus perversement.
-Tu pourras alors juste me montrer où est cet endroit au cas où j’ai besoin de toi ?

J’approchais mes lèvres de son oreille et lui susurrais
-Est-ce que tu voudrais être ma reine ? Juste la mienne ? Je n’aime pas partager...ajoutais-je en faisant glisser ma main sur sa nuque.

J’étais surchauffé, mais si je ne pouvais l’avoir en exclusif, je ne voulais pas l’avoir du tout. Je n’aimais pas les jouets d’occasion.

Alors que je le collais, il passa sa main dans mes cheveux, me faisant rougir.
-Tu pourras alors juste me montrer où est cet endroit au cas où j’ai besoin de toi ?

Je secouais la tête.
-Je n’ai pas le droit, désolée...

Pour me faire pardonner, je me collais encore plus à lui. Il me parla encore à l’oreille.
-Est-ce que tu voudrais être ma reine ? Juste la mienne ? Je n’aime pas partager...

Je rougi encore plus. Décidément...Mais comment je pouvais faire autrement lorsqu’il parlait de cette manière ? J’hochais la tête, toute timidement.
-Je ... Je veux bien...j’aimerais beaucoup être ta reine...

Je passais ma main derrière sa nuque.
- Et toi Ren, tu veux bien être mon roi ?

Je passais ma main dans ses cheveux, essayant à défaut de pouvoir y aller, savoir où elle était. Mais elle ne pouvait et ne voulait me le dire. Tant pis, j’arriverais à le savoir de toute manière. Elle n’était juste pas assez prête. Et pour qu’elle le soit, elle devait être à moi.
Je lui susurrais alors doucement à l’oreille pour savoir si elle voulait être mon jouet, enfin, ma reine.

Elle rougit encore plus, puis hocha la tête, timidement.

Mon sourire s’étira Dans la poche pensais-je excité. Je la surveillerai de près. Elle disait m’appartenir et je comptais bien en profiter.

- Et toi Ren, tu veux bien être mon roi ?

Elle passa ses mains derrière ma nuque, m’excitant encore un peu plus.
J’approchais mes lèvres tout près des siennes, sans les toucher et fis glisser ma main de sa nuque sur son cou si attirant.

-Je veux bien être ton roi si tu es mienne, rien qu’à moi.
-Je sais que c’est égoïste mais je ne veux pas te partager, répétais-je en passant alors mes doigts entre mes lèvres et les siennes avant les faires glisser sir ma gorge.

J’adorais ses réactions. J’adorais me sentir puissant, avoir les cartes en main. Et cette carte, je comptais bien la dévorer. Après tout, nous pouvions faire tout ici, dans ma chambre.

Je souriais, envahi d’envies de la dévorer et de satisfaire des pulsions, content d’avoir posé ma première pièce sur l’échiquier.

Je passais mes doigts très doucement entre nos lèvres avant de les faire glisser sur sa gorge. Je la senti frissonner et je sourie un peu plus.
Je la dévorais du regard mais je ne voulais pas agir sans avoir la certitude que cette pièce maîtresse était à moi.

Je la vis rougir et me répondre qu’elle serait à moi. Le sentiment de puissance m’envahi et mon sourire s’étira. Je sentais que je la troublais et j’aimais ça. Elle était mienne ! Je pouvais poser ma pièce sur l’échiquier !

Elle me vola alors un baiser avant de me regarder de nouveau. Je passais alors ma main sur sa joue et prit du bout des doigts son menton, l’obligeant à lever légèrement la tête. J’avais envi de la dévorer. Je plongeai mes yeux dans les siens, ne masquant pas mon envie, elle le sentait déjà très certainement, vu la manière dont nous étions collé.

-Alors je veux bien être ton toi. Répondis-je d’une voix presque grave avant de poser mes lèvres sur les siennes avec une énorme envie, tout en la serrant un peu plus et en faisant glisser ma main sur son cou, pour lui tenir la nuque et l’embrasser avec encore plus d’envie.

Lorsque je rompis le baiser, je restais à quelques millimètres de ses lèvres et la regardais.

-Je t’ai promis que tu pourrais me voir torse nu, tu veux bien m’aider à enlever mon haut ? Lui demandais-je perversement et amusé du pouvoir que j’avais sur elle.

Je l’embrassais avec envie et lui demandais ensuite si elle voulait toujours que je sois torse nu. Elle était rouge écarlate et je souriais de la voir ainsi. Elle hocha alors timidement la tête, ce qui me fit énormément plaisir puisque c’était comme si elle avait accepté que je la dévore.

Je gardais mes yeux plongés dans les siens en sentant ses mains glisser sur moi, passer sous mon haut. Je frissonnais très légèrement à son contact. Elle avait les mains chaudes. Je voulais savoir si le reste de son corps était aussi chaud. Je levai les bras lorsqu’elle m’enleva mon haut, puis la serra à la taille à nouveau, l’attirant contre moi. Je la laissai m’admirer et caresser ma peau quelques instants. Elle était terriblement excitante. Je voulais la soumettre à ma volonté, en y mettant les formes pour ne pas la brusquer, bien sûr.
Mes mains caressèrent son dos et je ne me privais pas de plonger les yeux dans son haut à peine fermé. J’avais terriblement envie de la gouter.

Lorsque je commençais à frissonner légèrement sous ses caresses qui m’excitaient de plus en plus, je la serrai encore plus contre moi, tout en abaissant mes mains sur ses fesses et en la caressant.

Je susurrais alors à son oreille, en la mordillant très légèrement.
Je te veux. Je veux te dévorer.

Mes mains la caressaient un peu plus pressement.
Est-ce que je peux t’avoir ma reine ? Lui susurrais-je en souriant, me sentant puissant et surexcité.

-Touche-moi Renji... J’ai tellement envie de toi...

Je le vis sourire encore plus et me dévorer du regard entièrement. Mais je voulais plus. Je voulais qu’il me dévore réellement...

Il me caressa légèrement, me faisant gémir, avant de remonter sa main doucement sa main dans mon cou et mes cheveux. Il me fit basculer la tête en arrière et je me laissais faire.

-Je vais te dévorer, te rendre folle de plaisir. Abandonne-toi à moi Ambre, abandonne à ton roi, ma reine.

J’hochais la tête et gémis encore, ne parvenant pas à faire plus. Il embrassa mon cou et ma gorge. C’était tellement bon, mais en même temps terriblement frustrant. Je voulais plus, bien plus...
Lorsqu’il me souleva, je m’accrochais à lui et me frottai contre lui, contre son sexe si dur. J’étais tellement pressée de le sentir en moi...
Il s’allongea sur le lit, me gardant sur lui, avant de se redresse légèrement.

-Nous ne sommes pas à égalité, j’ai encore mon pantalon alors que toi non.
- Et si tu rétablissais l’équilibre ?

Je souris encore plus et n’hésitai pas avant d’obtempérer. Je défis sa ceinture et ouvrait son pantalon, le faisant glisser sur ses jambes. Je les caressai un instant puis remontai mes mains sur son sexe, que je caressais

-Renji...J’ai tellement envie de te sentir en moi...Tu le sens ? Lui demandais-je en prenant sa main et la posant sur mon sexe, directement dans la culotte.

- Caresse-moi Ren... Lui demandais-je encore, presque suppliante.

Mes lèvres et ma langue léchaient et mordillaient encore plus son corps, alors que mes doigts la caressaient en la faisant gémir de plus en plus. Lorsqu’elle cria doucement mon nom avant de gémir plus fort, je déglutis, tellement sa voix était excitante. Je serrais encore plus ses poignets. Peut être même trop fort, mais je ne me contrôlais plus beaucoup.

Renji...C’est tellement bon...Continues...Je t’en supplie, continues plus encore...

Mon excitation brisa une barrière de mes pulsions et j’aspirais alors le bout de ses seins, en allant beaucoup plus vite avec mes doigts. Elle continuait de mouiller de plus en plus et je sentais sa respiration et son corps se faire plus pressant, plus chaud encore. C’était vraiment trop !

Ma bouche n’était plus douce, je la léchais, ma mordais légèrement et aspirais sa peau avec une telle envie ! Je voulais la faire venir avant de rentrer en elle. Mais c’était si dur de me retenir !
Entre deux coups de langue sur son corps si réactif, je la regardais frémir de plus en plus sous mes doigts qui allaient encore plus vite. Je léchais alors la base de son cou e la mordait un peu plus fort tellement mon envie était forte.

-Tu es vraiment trop bonne Ambre, susurrais-je à son oreille avant de la mordiller à nouveau.
-Tu m’excite tellement ! Lui dis-je avant de mordre son cou, laissant une légère marque que je léchais alors avec vigueur, appliquant toute ma bouche sur son cou pour la dévorer.

J’étais tellement proche, c’était tellement bon...Je ne voulais pas qu’il arrête, que ça s’arrête. Cette sensation était bien trop bonne...

Je sentis ses caresses augmenter, me rendant encore plus proche de l’extase. je sentais qu’il se retenait et ça me plaisait encore plus.

-Renji...Encore mon roi...Tes caresses sont tellement bonnes...
Je bougeais toujours contre lui, provoquant encore plus de plaisir en moi. J’étais aux portes de l’extase mais je ne voulais pas encore venir. Je voulais qu’il me fasse encore plus de bien avant de jouir, avant de le laisser venir en moi.

Mon roi, mon Ren...Encore...Fait-moi plus de bien encore. Le suppliais-je encore.